Aujourd'hui a été franchi le seuil des 10 000 visiteurs sur ce blog, par un(e) Canadien(ne): cela se fête! Pour l'occasion, voici un petit tour dans le ciel japonais...
L'aéroport de Narita est l'un des 2 aéroports de Tōkyō, et compte ainsi parmi les plus gros aéroports du monde. Pour autant, l'aéroport n'a rien de monstrueux et semble même plutôt hospitalier pour les visiteurs. Et quelle meilleure preuve que les égouts pour le démontrer?
Et voilà! Bon, il a fallu chercher un peu, mais avec de la volonté, on trouve... :-) Narita est en effet le principal point d'entrée des étrangers au Japon, même si l'autre aéroport de Tōkyō, Haneda, développe aussi des lignes internationales depuis quelques années. À ce titre, Narita est le hub des 2 grandes compagnies japonaises, Japan Airlines (JAL) et All Nippon Airways (ANA). Comme je prends tout en photo, j'ai bien sûr quelques spécimens de leurs avions en stock:
À première vue, cela semble banal.... Sauf que, Japon oblige, les avions sont parfois décorés de façon plus originale. Par exemple, les avions JAL qui desservent les îles du sud sont peints de sorte à se fondre dans le décor des mers du Sud:
Espérons cependant que l'avion n'ait pas vocation à plonger dans la mer... ANA n'est pas en reste, et affiche des ambitions internationales sur certains de ses avions:
Les avions peuvent aussi faire la promotion de personnages de mangas ou d'un événement sportif à l'occasion. Lorsqu'on est à l'intérieur des avions japonais, quelques indices permettent de se sentir déjà (ou encore un peu) dans le pays. En particulier, la carte qui indique le trajet est intéressante:
Ici, l'aéroport d'arrivée est "Myunhen", ce qui correspond à... Munich! Et comme le vol est un peu long (12 heures, quand même...), la partie la plus drôle consiste à essayer de retrouver le nom des villages de Sibérie au moment de leur survol: le russe retranscrit en katakana, c'est de l'art. Autre aspect dépaysant, le repas à bord. Les compagnies européennes sont d'une banalité! Là au moins, les plateaux rivalisent d'originalité, en fonction des modes du moment. Un des plus étonnants était le plateau à l'effigie de Kumamon, la mascotte de la ville de Kumamoto:
Le survol du Japon fait aussi partie du plaisir du voyage. En particulier, c'est souvent la seule occasion du séjour d'apercevoir le Fuji-San, dont le sommet émerge des nuages:
La baie de Tōkyō, avec le Fuji-San (dans les nuages, toujours) à l'arrière-plan, est aussi très impressionnante:
La côte pacifique et les rizières offrent de belles couleurs:
Lors du survol de l'océan à basse altitude, à l'atterrissage plutôt, il est possible de voir sauter des dauphins près de la côte. Dans des latitudes plus basses, les îles coralliennes dessinent parfois des formes spectaculaires. Ce lagon en forme de cœur me plaît beaucoup:
Mais le plus mémorable lors d'un passage à Narita est le rituel qui précède le décollage. La première étape obligatoire est l'escale du duty-free. Bien sûr, on y trouve tous les produits classiques (parfums, alcools...), comme dans tous les aéroports du monde. Mais on y trouve aussi un certain nombre de "japoniaiseries": manekinekos, chaussettes à 5 "doigts" (ou orteils, plutôt), porte-clefs en forme de sushi, entre autres. S'il ne faut retenir qu'un produit, le Kitkat au thé vert et à la fleur de cerisier est incontournable:
Certes, c'est un cliché; mais c'est un régal. Après cet investissement, on monte dans l'avion en se disant que le voyage est fini... ce qui n'est pas tout à fait vrai. En effet, le personnel qui a préparé l'avion accompagne ensuite son départ en faisant coucou:
Il paraît que c'est une tradition dans tous les aéroports japonais. C'est vrai dans tous ceux que j'ai pu voir. Et le spectacle n'est pas terminé. Comme on est au Japon, on ne se quitte pas sans une petite courbette:
Bon, là, c'est fini... Mais ça donne envie de revenir, non?
Et voilà! Bon, il a fallu chercher un peu, mais avec de la volonté, on trouve... :-) Narita est en effet le principal point d'entrée des étrangers au Japon, même si l'autre aéroport de Tōkyō, Haneda, développe aussi des lignes internationales depuis quelques années. À ce titre, Narita est le hub des 2 grandes compagnies japonaises, Japan Airlines (JAL) et All Nippon Airways (ANA). Comme je prends tout en photo, j'ai bien sûr quelques spécimens de leurs avions en stock:
À première vue, cela semble banal.... Sauf que, Japon oblige, les avions sont parfois décorés de façon plus originale. Par exemple, les avions JAL qui desservent les îles du sud sont peints de sorte à se fondre dans le décor des mers du Sud:
Espérons cependant que l'avion n'ait pas vocation à plonger dans la mer... ANA n'est pas en reste, et affiche des ambitions internationales sur certains de ses avions:
Les avions peuvent aussi faire la promotion de personnages de mangas ou d'un événement sportif à l'occasion. Lorsqu'on est à l'intérieur des avions japonais, quelques indices permettent de se sentir déjà (ou encore un peu) dans le pays. En particulier, la carte qui indique le trajet est intéressante:
Ici, l'aéroport d'arrivée est "Myunhen", ce qui correspond à... Munich! Et comme le vol est un peu long (12 heures, quand même...), la partie la plus drôle consiste à essayer de retrouver le nom des villages de Sibérie au moment de leur survol: le russe retranscrit en katakana, c'est de l'art. Autre aspect dépaysant, le repas à bord. Les compagnies européennes sont d'une banalité! Là au moins, les plateaux rivalisent d'originalité, en fonction des modes du moment. Un des plus étonnants était le plateau à l'effigie de Kumamon, la mascotte de la ville de Kumamoto:
Le survol du Japon fait aussi partie du plaisir du voyage. En particulier, c'est souvent la seule occasion du séjour d'apercevoir le Fuji-San, dont le sommet émerge des nuages:
La baie de Tōkyō, avec le Fuji-San (dans les nuages, toujours) à l'arrière-plan, est aussi très impressionnante:
La côte pacifique et les rizières offrent de belles couleurs:
Lors du survol de l'océan à basse altitude, à l'atterrissage plutôt, il est possible de voir sauter des dauphins près de la côte. Dans des latitudes plus basses, les îles coralliennes dessinent parfois des formes spectaculaires. Ce lagon en forme de cœur me plaît beaucoup:
Mais le plus mémorable lors d'un passage à Narita est le rituel qui précède le décollage. La première étape obligatoire est l'escale du duty-free. Bien sûr, on y trouve tous les produits classiques (parfums, alcools...), comme dans tous les aéroports du monde. Mais on y trouve aussi un certain nombre de "japoniaiseries": manekinekos, chaussettes à 5 "doigts" (ou orteils, plutôt), porte-clefs en forme de sushi, entre autres. S'il ne faut retenir qu'un produit, le Kitkat au thé vert et à la fleur de cerisier est incontournable:
Certes, c'est un cliché; mais c'est un régal. Après cet investissement, on monte dans l'avion en se disant que le voyage est fini... ce qui n'est pas tout à fait vrai. En effet, le personnel qui a préparé l'avion accompagne ensuite son départ en faisant coucou:
Il paraît que c'est une tradition dans tous les aéroports japonais. C'est vrai dans tous ceux que j'ai pu voir. Et le spectacle n'est pas terminé. Comme on est au Japon, on ne se quitte pas sans une petite courbette:
Bon, là, c'est fini... Mais ça donne envie de revenir, non?
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